Protéger sa lame, ou pas?

Salut tous le monde, j'ai eu mon nouveau coupe chou ( un DOVO Black Star) et je voudrai savoir si je dois le protéger au niveau de tout ce qui concerne la lame: en mettant de l'huile par exemple. Il faut savoir que je l'utilise entre 1 et 2 fois par semaine et qu’après chaque rasage je le sèche de façon impeccable avec du coton. Si vous me conseillez de mettre de l'huile, pouvez vous aussi me dire ce qui peut faire l'affaire car j'y tiens énormément.
Merci d'avance et bonne soirée a tous.

si tu n'est pas dans une atmosphère humide et/ou marine tu sèche bien le CC et basta! les miens ne voient plus l'huile depuis des années et certains ne servent qu'une ou deux fois par an zero probleme!
par contre les stock pas dans ta salle de bains


edit: pour sécher la lame et bien la faire briller: les petits chiffons microfibres vont super bien

Idem, l'huile n'est pas nécessaire si tu l'utilise. Elle ne sert que en cas de long stockage

Comme les autres si tu t'en sers pas de souci de rouille.
Si tu essuies bien après c'est tout bon.
J'ai eu le même à mes début et je l'avais rangé avec un peu mousse dessus il a attrapé une méchante tache noire.

Sinon ici ils y'en a qui préconise l'huile essentielle de camélia, mais une goutte de vaseline suffit aussi si vraiment tu flippes.

Kirigol a écrit:

Comme les autres si tu t'en sers pas de souci de rouille.
Si tu essuies bien après c'est tout bon.
J'ai eu le même à mes début et je l'avais rangé avec un peu mousse dessus il a attrapé une méchante tache noire.

Sinon ici ils y'en a qui préconise l'huile essentielle de camélia, mais une goutte de vaseline suffit aussi si vraiment tu flippes.

L'huile de camélia tout court, pas l'huile essentielle...

Si tu t'en sers régulièrement, pas besoin de le huiler s'il est bien sécher. Serviette microfibre = oui. Coton hydrophie = attention, ça peut rayer.
Au pire un bout de PQ, ça absorbe et ça ne raye pas.

Je suis assez paranoide donc je mets toujours une goutte de l'huile après séchage.
J'utilese l'huilé camellia personellement.

oui mais t'es en belgique, pays humide par excelence

Malheureusement, absolument!

En revanche, la pluie et l'humidité chez nous n'est rien comparé à la Bretagne !

decraew a écrit:

Malheureusement, absolument!

En revanche, la pluie et l'humidité chez nous n'est rien comparé à la Bretagne !

Hein, qu'est ce que j'entends ?

C'est bien connu, en Bretagne, il ne peut que sur les C..

oregos a écrit:

decraew a écrit:

Malheureusement, absolument!

En revanche, la pluie et l'humidité chez nous n'est rien comparé à la Bretagne !

Hein, qu'est ce que j'entends ?

C'est bien connu, en Bretagne, il ne peut que sur les C..

Le problème à Brest ce n'est pas la pluie, c'est l'air méchamment salin. Cà bouffe tout , y compris le "sky". Lorsque j'y habitais, avant de partir naviguer, je trempais mes tournevis dans le pot de graisse avant de les remettre sur le présentoir de l'établi ; lorsque je rentrais 4 mois plus tard, la graisse avait été bouffée et les lames étaient rouillées .

En Loire Atlantique, je n'ai plus ce problème là, toujours avec les mêmes lames de tournevis. .


En attendant, un peu plus bas dans la liste, il y a un fil sur le camphre.

je plussoie l'essuyage au PQ.
Neuf de préférence!
('ai pas pu m'en empêcher...)

un passage au micro fibre, et sur le CC du 3C de l'huile de camelia.

Passage à la microfibre ou à la serviette et affilage dans la foulée : canvas genre feutre (pas tapé) et cuir.
Mais bon, je suis une souillon. S'il reste des traces de savon ça ne m'affole pas. Tant que l'outil reste propre et fonctionnel ça me convient.

Tu as deux écoles qui ont leurs arguments et qui ont à mon humble avis se valent. A condition de bien sécher sa lame préalablement ( le micro-fibres, c'est imparable ). Tout est ensuite questions d'environnement et de vues de l'esprit.

1/ Tu utilises ton CC régulièrement ( tous les jours par exemple ) : pas nécessairement besoin d'huile.
2/ Tu l'utilises ponctuellement, voire rarement : faut y réfléchir à deux fois. Je crois qu'il est préférable de lubrifier les lames. Mieux vaut prévenir que guérir.

Maintenant, si ton environnement est "hostile" pour une lame de CC ( climat humide, air salin... ), je te suggères de lubrifier tes lames.

Pour le lubrifiant à utiliser tu peux utiliser : fluide de vaseline ( mélanger de la pommade de vaseline et de l'huile pour avoir un fluide assez épais qui ressemble à de la graisse et adhère bien à la lame ), tu peux utiliser de l'huile de camphre ou de l'huile de clou de girofle ou du lubrifiant à sabres japonais ( je ne sais plus le nom ). Tu peux mélanger vaseline / camphre / girofle. Certains utilisent du Ballistol ou de l'huile à chaine de vélos : perso, je ne préfére pas ( pas trop envie de me foutre cela sur la trombine ). Les premières sont plus naurelleset appropriées pour appliquer sur le visage.

Perso, je ne vis pas dans un environnement "hostile", mais je lubrifie toutes mes lames. Une habitude plus qu'autre chose. Est-ce que cela est rationnel ? Je n'en suis pas persuadé plus que cela car pas forcément utile. En attendant, je n'ai aucun souci de rouille.

G a très bien résumer la situation , il me semble , je vois aussi les choses sous cet angle.
Je me classe dans le 2eme cas de figure, non pas que je me rarement au CC ( non mais des fois) mais je me rase rarement avec le même 2 jours de suite , ce qui me ramène à l'option 2 au final

J'ai remarqué ceci récemment :
aucun problème sur mes lames stockées dans l'armoire de la salle de bain... sauf celles en contact avec des miettes de pierre d'alun ! En effet, l'alun a causé, là ou il était en contact avec l'acier, un piquetage noir localisé

Mes CC restent dans la salle de bain, dans leur boîte, ou dans une boîte. Tout va bien.

Avoir un CC dans sa boîte en carton, elle-même dans une trousse de toilette ne suffit pas pour le protéger de l'humidité quand on l'utilise peu ?

Ca dépend où est rangée la dite trousse de toilette.
Si l'humidité est déjà présente dedans, ce n'est pas le carton, qui va s'imbiber, qui l'arrêtera.
Mais un stockage dans un endroit sec est généralement suffisant.